La flotte française. 2 destroyers classe Mogador et le porte-avions Béarn avec à son bord des chasseurs Devoitine et des bombardiers en piqué Loire Nieuport

La flotte nippone

Les pertes s'accumulent pour les japonais

Le dernier bâtiment japonais pris en sandwich par les torpilles du Béarn et du Surcouf. Elles n'auront pas le temps de faire de dégâts car le destroyer sera coulé avant par une attaque des Loire Nieuport.

Bilan : La flotte japonaise est entièrement détruite, principalement par les bombardiers du Béarn, tandis que les français ne déplorent que la perte d'un destroyer. Le premier engagement de la campagne est un avertissement sévère aux japonais et permet à la France de contrôler Rabaul. Cependant, loin d'être découragé, le japonais décide de lancer une attaque contre le centre de ravitaillement de Shangaï et y dépêche une force plus conséquente constituée de croiseurs lourds et de cuirassés. Les américains, décide de leur contester ce port et envoient une Task Force constituée également de cuirassés et croiseurs.


Un 6 obtenu lors des jets de dommages est un potentiel coup critique (sur un nouveau jet égal à , au moins, 4, un coup critique est obtenu pouvant aller jusqu'à l'explosion du navire ennemi !)

A l'issue de l'engagement, les américains auront perdu 2 cuirassés et un croiseur lourd et les japonais 2 croiseurs lourd et un cuirassé. Le potentiel offensif nippon est maintenant affaibli , ce qui ne peut que réjouir les français. Si les américains ont également subit de lourdes pertes, le fait de n'avoir été engagé que dans une seule bataille leur permet de préserver leur potentiel offensif. La suite de la campagne risque d'être chaude !
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